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CSimon Publishing : la maison d’édition qui annonce une nouvelle ère pour la littérature haïtienneHaïti
CSimon Publishing : la maison d’édition qui annonce une nouvelle ère pour la littérature haïtienne
Haïti
  • January 24, 2025
  • | 2

CSimon Publishing : la maison d’édition qui annonce une nouvelle ère pour la littérature haïtienne

Haïti est une véritable puissance dans le monde littéraire d’aujourd’hui. Depuis des siècles, le pays est doté d’une richesse intellectuelle remarquable qui a permis de conduire à des exploits exceptionnels. Aujourd’hui, avec plus de 20 grands écrivains majeurs actifs, dont les œuvres résonnent bien au-delà des frontières haïtiennes, Haïti fait partie des pays ayant le taux d’écrivains le plus élevé par habitant. Parmi ces écrivains, nous pouvons citer Edwige Danticat, prix Pulitzer ; Louis-Philippe d’Alambert, prix Goncourt de la poésie en 2024 ; René Depestre, prix Goncourt de la nouvelle en 1982 ; Dany Laferrière, prix Renaudot et membre de l’Académie française ; Lyonel Trouillot et Frankétienne, mondialement connus pour leurs œuvres ; sans oublier l’actuelle star de la littérature haïtienne, finaliste du Goncourt 2022 avec son œuvre magistrale intitulée Une somme humaine, référence faite à Makenzy Orcel. Ces noms se mettent aux côtés des figures légendaires telles que Jacques Roumain, Anténor Firmin, Jacques Stéphen Alexis, Oswald Durant, formant des marques importantes pour la culture mondiale par leurs écrits. Aujourd’hui, cette tradition littéraire continue de se nourrir de nouveaux talents, mais un problème persiste : l’absence de maisons d’édition haïtiennes sérieuses et structurées en quantité suffisante capables de soutenir ces jeunes auteurs.

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Littérature, facteur de vie

Dans un pays en perpétuel bouleversement comme Haïti, la littérature n’est pas simplement une forme d’expression, c’est une manière de résister, de témoigner et de partager des réalités souvent ignorées. Quand un pays souffre autant, les gens réfléchissent davantage et nourrissent le désir de partager leurs pensées avec un public. C’est dans ce contexte que des maisons d’édition comme CSimon Publishing revêtent une importance capitale. CSimon Publishing est une maison d’édition haïtienne basée aux États-Unis, dédiée à la publication d’œuvres littéraires de qualité. Elle s’efforce de combler un vide crucial pour les jeunes auteurs haïtiens, notamment ceux issus de la diaspora, en leur offrant une plateforme où leurs voix peuvent être entendues et leurs histoires partagées.

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La littérature haïtienne, outil d’émancipation

La littérature haïtienne est plus vivante que jamais, et les jeunes écrivains haïtiens en particulier voient en ces grands noms cités plus haut des modèles à suivre. Cependant, bien que le désir de créer et de partager leur art soit omniprésent, de nombreux jeunes qui nourrissent en eux le désir de devenir écrivains et qui habitent en Haïti peinent à trouver une maison d’édition capable de répondre à leurs attentes. La situation en Haïti est particulièrement complexe, avec peu d’options de qualité pour publier un ouvrage dans des conditions professionnelles, même pour les auteurs déjà confirmés. Cette difficulté se reflète également dans la diaspora haïtienne, où de nombreux auteurs talentueux, désireux de faire connaître leurs œuvres, se retrouvent souvent dans l’incapacité de concrétiser leurs projets littéraires.

Avec CSimon Publishing, les écrivains haïtiens disposent désormais d’une voie sûre en plus pour affirmer leurs talents et s’exprimer librement. CSimon vise la création de nouvelles têtes littéraires et y ajoute les moyens nécessaires pour y parvenir. De nombreux jeunes poètes et romanciers ont déjà trouvé dans cette maison d’édition un espace propice à la publication de leurs œuvres. Publiant leurs romans, poèmes et récits capables d’inspirer. Selon les données disponibles, CSimon a déjà publié plus de 150 ouvrages.

La mission de CSimon Publishing est claire, selon ses dirigeants : offrir aux écrivains haïtiens (d’Haïti ou de la diaspora) une plateforme de qualité où leurs créations littéraires peuvent prendre vie dans des conditions professionnelles, sans compromis. À travers ses publications, elle participe activement à l’enrichissement de la culture haïtienne, mais aussi mondiale, en contribuant à l’émergence de nouvelles voix littéraires haïtiennes.

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Une maison d’édition avec de grandes ambitions

Au-delà de la simple publication de livres, CSimon Publishing se veut un acteur clé dans la préservation et la transmission de l’héritage littéraire haïtien. C’est pourquoi CSimon organise un Salon du livre dans le Grand Nord d’Haïti annuellement, intitulé Salon du livre du Grand Nord, où ses écrivains ont la priorité pour exposer leurs œuvres. CSimon Publishing est également l’un des partenaires clés du Salon du livre de Port-au-Prince, avec qui elle organise d’ailleurs un concours d’écriture qui se déroule actuellement et qui prendra fin au mois d’avril 2025. Ce concours, intitulé Lettre à mon auteur préféré, vise principalement à inciter les gens à honorer leur auteur et à pratiquer l’écriture et la lecture à haute voix. Bref, avec CSimon Publishing, il existe désormais une voie sûre vers laquelle un jeune haïtien ou une personne de n’importe quelle autre nationalité peut se tourner pour affirmer son talent d’écriture en toute quiétude et s’exprimer librement. Côté haïtien, cette maison d’édition est un lieu net, capable de faire perdurer cet héritage lourd que nous ont légué des noms comme Jacques Roumain, Jean Price Mars, Anténor Firmin, René Philoctète, Exaire Villaire, pour ne citer que ceux-là. Et ainsi, continuer à inspirer les jeunes générations et susciter des vocations littéraires. CSimon Publishing se veut être le nouveau gardien de cette tradition littéraire haïtienne, en offrant aux nouveaux talents l’opportunité de s’inscrire dans cette lignée prestigieuse, tout en apportant sa contribution à la dynamique littéraire contemporaine d’Haïti. Avec autant de garanties, CSimon Publishing est l’endroit idéal où confier sa plume lorsqu’on est jeune.

Pitié ou l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe

Le vocable crise charrie une infinité de sens. Nulle intention de les révéler tous cet après-midi. Toutefois, quelques précisions s’imposent. Une gamine dont les parents ne disposent pas de fonds suffisants à Noël pour lui acheter une poupée de la petite Sirène noire pique une crise et s’enferme dans sa chambre à double tour sans toucher à ses repas de la journée. Un garçon dont le chien a été empoisonné subitement par un voisin pour se venger ou abattu ayant contracté la rage, perdant du jour au lendemain un ami fidèle, entre en crise. Pour finir une société en proie à toutes sortes de mutations et dont les dirigeants sont veules, peut-être prolongée dans une profonde crise. Dans le premier cas, la jeune fille boude pour attirer l’attention de ses parents afin de se sentir apprécier des enfants de son âge à l’école ou dans le voisinage. Aujourd’hui, une trentaine de minutes de négociations peuvent suffire pour y dégager une solution durable. De mon temps, quelques coups de ceinture bien sentis aurait eu raison de ce caprice. Mais, l’humanité évolue, dit-on. Dans le deuxième cas, ce garçon peut retrouver le sourire au bout de quelques semaines. Il lui faut un peu d’attention et, sans doute un autre chien. Comme dirait Stendhal, seule la passion triomphe de la passion. Dans le dernier cas, cette société dirigée par des ineptes est secouée dans ses assises profondes. Ses institutions peuvent une à une se déliter. Les forces vives se dissoudre en un rien de temps. Cette situation crée un tsunami sociétal qui détruit toute vie au sein de cette collectivité. C’est effectivement une crise. La crise de ce point de vue constitue une situation alarmante, désespérée dans l’existence d’une communauté où rien ne va. Le chaos y règne en maître. L’essence même de la vie disparaît. L’individu peut prendre le pas sur la collectivité. Chacun tentant de résoudre ses problèmes sans se soucier d’autrui. Le voisin le plus proche est relégué à des années lumières de soi. Comment se tourner vers la création? Comment continuer à concevoir l’altérité? Comment l’artiste peut s’imprégner de ce grand désarroi collectif comme source de motivations? Voilà les questions auxquelles je dois répondre. Un artiste voit et sent ce que le commun des mortels ne peut même pas imaginer dans une vie de mille ans. Il crée pour dénoncer, quand sa conscience d’être humain est révoltée. Il exalte les héros ou la patrie selon son ressenti. Il chante la beauté d’une femme irrésistible, envoûtante ou mochement resplendissante. Il peut aussi se servir de la désolation ambiante pour donner un sens à la vie. Créer en littérature comme dans les arts en général ne dépend pas de la conjoncture. L’acte de création est fonction des dispositions du créateur. Les événements tétanisent certains et galvanisent d’autres. Créer est jouissif. Chacun jouit donc selon sa fantaisie. Écrire ouvre la voie au changement. L’écrivain jette un regard différent sur le monde. En s’incrustant dans le réel il l’enjolive, le rend meilleur ou hideux selon le message qu’il entend partager. Tout compte fait, avec lui la vie n’est jamais figée. Écrire c’est mettre le monde dans un bocal pour y parcourir l’univers. L’artiste couve son œuvre par tous les temps. Oswald Durand métait en joie d’apercevoir le beau corps de Choucoune de son observatoire secret. Musset par contre dans la douleur rédigeait sa nuit d’octobre. Quant à Dany Laferrière, en exil, il décrivit les horreurs de la dictature duvaliériste et l’insouciance des jeunes filles de son quartier dans ce monde violent et dangereux. En définitive, l’écrivain vit dans une société avec des valeurs qu’il partage ou non. Elles conditionnent son existence ou n’ont aucune prise sur lui. À bien des égards, le monde ambiant lui sert de laboratoire. Il y réalise ses expérimentations. Il jette sur le monde un regard neuf, usé, désabusé, mélancolique, violent, plein d’aigreur selon son humeur. Pitié est l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe. Le jeune Mike Bernard Michel vit d’expédients et de mensonges. Les mains de la vie s’abattent sur lui avec une violence indescriptible. Le malheur l’étreint dans ses bras jour et nuit. Faut-il pour autant baisser les bras ? Musset aimait à dire : « l’homme est un apprenti, la douleur est son maitre. Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert. » L’artiste doit produire sous tous les cieux. Telle est sa vocation. Les incompétents au pouvoir, les bandits légaux ou de grands-chemins, la cherté de la vie, le chômage, les chagrins d’amour sont autant de sujets de préoccupations pour lui. S’il est vrai que ventre affamé n’a point d’oreilles, toujours est-il qu’il garde le cerveau en éveil. Que dis-je, il le stimule au point de créer des œuvres intemporelles. Monsieur Pitié vous avez un bel avenir devant vous. Oeuvre de Jean Rony Charles, le livre est disponible chez les Éditions Repérage.

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À propos de l'auteur
Moise Francois

Journaliste rédacteur, poète et apprenti juriste.

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January 25, 2025 - 11:39:35 PM
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Pitié ou l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe

Le vocable crise charrie une infinité de sens. Nulle intention de les révéler tous cet après-midi. Toutefois, quelques précisions s’imposent. Une gamine dont les parents ne disposent pas de fonds suffisants à Noël pour lui acheter une poupée de la petite Sirène noire pique une crise et s’enferme dans sa chambre à double tour sans toucher à ses repas de la journée. Un garçon dont le chien a été empoisonné subitement par un voisin pour se venger ou abattu ayant contracté la rage, perdant du jour au lendemain un ami fidèle, entre en crise. Pour finir une société en proie à toutes sortes de mutations et dont les dirigeants sont veules, peut-être prolongée dans une profonde crise. Dans le premier cas, la jeune fille boude pour attirer l’attention de ses parents afin de se sentir apprécier des enfants de son âge à l’école ou dans le voisinage. Aujourd’hui, une trentaine de minutes de négociations peuvent suffire pour y dégager une solution durable. De mon temps, quelques coups de ceinture bien sentis aurait eu raison de ce caprice. Mais, l’humanité évolue, dit-on. Dans le deuxième cas, ce garçon peut retrouver le sourire au bout de quelques semaines. Il lui faut un peu d’attention et, sans doute un autre chien. Comme dirait Stendhal, seule la passion triomphe de la passion. Dans le dernier cas, cette société dirigée par des ineptes est secouée dans ses assises profondes. Ses institutions peuvent une à une se déliter. Les forces vives se dissoudre en un rien de temps. Cette situation crée un tsunami sociétal qui détruit toute vie au sein de cette collectivité. C’est effectivement une crise. La crise de ce point de vue constitue une situation alarmante, désespérée dans l’existence d’une communauté où rien ne va. Le chaos y règne en maître. L’essence même de la vie disparaît. L’individu peut prendre le pas sur la collectivité. Chacun tentant de résoudre ses problèmes sans se soucier d’autrui. Le voisin le plus proche est relégué à des années lumières de soi. Comment se tourner vers la création? Comment continuer à concevoir l’altérité? Comment l’artiste peut s’imprégner de ce grand désarroi collectif comme source de motivations? Voilà les questions auxquelles je dois répondre. Un artiste voit et sent ce que le commun des mortels ne peut même pas imaginer dans une vie de mille ans. Il crée pour dénoncer, quand sa conscience d’être humain est révoltée. Il exalte les héros ou la patrie selon son ressenti. Il chante la beauté d’une femme irrésistible, envoûtante ou mochement resplendissante. Il peut aussi se servir de la désolation ambiante pour donner un sens à la vie. Créer en littérature comme dans les arts en général ne dépend pas de la conjoncture. L’acte de création est fonction des dispositions du créateur. Les événements tétanisent certains et galvanisent d’autres. Créer est jouissif. Chacun jouit donc selon sa fantaisie. Écrire ouvre la voie au changement. L’écrivain jette un regard différent sur le monde. En s’incrustant dans le réel il l’enjolive, le rend meilleur ou hideux selon le message qu’il entend partager. Tout compte fait, avec lui la vie n’est jamais figée. Écrire c’est mettre le monde dans un bocal pour y parcourir l’univers. L’artiste couve son œuvre par tous les temps. Oswald Durand métait en joie d’apercevoir le beau corps de Choucoune de son observatoire secret. Musset par contre dans la douleur rédigeait sa nuit d’octobre. Quant à Dany Laferrière, en exil, il décrivit les horreurs de la dictature duvaliériste et l’insouciance des jeunes filles de son quartier dans ce monde violent et dangereux. En définitive, l’écrivain vit dans une société avec des valeurs qu’il partage ou non. Elles conditionnent son existence ou n’ont aucune prise sur lui. À bien des égards, le monde ambiant lui sert de laboratoire. Il y réalise ses expérimentations. Il jette sur le monde un regard neuf, usé, désabusé, mélancolique, violent, plein d’aigreur selon son humeur. Pitié est l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe. Le jeune Mike Bernard Michel vit d’expédients et de mensonges. Les mains de la vie s’abattent sur lui avec une violence indescriptible. Le malheur l’étreint dans ses bras jour et nuit. Faut-il pour autant baisser les bras ? Musset aimait à dire : « l’homme est un apprenti, la douleur est son maitre. Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert. » L’artiste doit produire sous tous les cieux. Telle est sa vocation. Les incompétents au pouvoir, les bandits légaux ou de grands-chemins, la cherté de la vie, le chômage, les chagrins d’amour sont autant de sujets de préoccupations pour lui. S’il est vrai que ventre affamé n’a point d’oreilles, toujours est-il qu’il garde le cerveau en éveil. Que dis-je, il le stimule au point de créer des œuvres intemporelles. Monsieur Pitié vous avez un bel avenir devant vous. Oeuvre de Jean Rony Charles, le livre est disponible chez les Éditions Repérage.

Haïti : Boukanye

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